Month: avril 2017

Notre meilleur ami

Lorsque j’avais douze ans, ma famille a déménagé dans une ville du désert. À ma nouvelle école, après mes cours d’éducation physique donnés sous un soleil de plomb, nous courrions nous désaltérer à la fontaine. Étant maigre et plus jeune que mes compagnons de classe, je me faisais parfois pousser à l’écart de la file d’attente. Un jour, mon ami Jose, qui était gros et grand pour son âge, en a été témoin. Il s’en est mêlé et m’a frayé un passage jusqu’à la fontaine à la force de son bras, en déclarant : « Hé ! Vous allez laisser Banks boire le premier ! » Or, je n’ai plus jamais eu de difficulté à boire à la fontaine par la suite.

« Il est bon ! »

J’ignore si quelqu’un a déjà réussi à ne pas apprécier les éloges. Et s’il les apprécie, il désire les recevoir. Et s’il n’arrive pas à combler ce désir, il en éprouvera une grande tristesse. Ceux qui aiment être acclamés ont l’esprit affamé lorsqu’on les blâme spontanément, mais aussi lorsqu’ils ne sont pas constamment louangés (traduction libre). —Jean Chrysostome

Un parcours de foi

Depuis sa première parution en 1880, le livre de Lew Wallace intitulé Ben‑Hur, une histoire sur le Christ n’a jamais été en rupture de stock. On dit de ce livre qu’il a été le plus influent du XIXe siècle et qu’il continue de captiver ses lecteurs de nos jours en tissant sous leurs yeux la véritable histoire de Jésus à même la vie fictive d’un jeune noble Juif nommé Juda Ben‑Hur.

Vaincre les critiques

Lors des dernières secondes d’une partie de football américain, l’arbitre a dû prendre une décision très difficile qui a influé sur l’issue de la rencontre. Sa décision a fait gagner une équipe et a fait perdre l’autre. Les partisans de l’équipe perdante, furieux contre l’arbitre, l’ont ridiculisé et lui ont fait des menaces pendant des jours et des semaines. Avec le temps, il a été victime de crises de panique et a même pensé au suicide. Les médecins lui ont diagnostiqué un trouble de stress post-traumatique.

Un Berger pour la vie

En changeant d’année scolaire, mon fils s’est écrié : « Je veux avoir mon professeur pour toujours ! » Nous avons dû l’aider à comprendre que le changement de professeur fait partie de la vie. Il se peut que nous nous demandions : Y a‑t‑il une seule relation qui dure toute une vie ?

Accessible

Mon premier colocataire d’université ne semblait pas vouloir être mon ami. Il écoutait de la musique avec ses écouteurs sur les oreilles et restait collé à son ordinateur toute la journée, et presque toute la nuit. Il ne voulait pas blaguer ni prendre de repas avec moi. Nous n’avons presque pas parlé pendant les premières semaines. Il ne voulait tout simplement pas interagir avec moi.

Claudine Lemelin

Notre Pain Quotidien 40e anniversaire !

Merci Seigneur pour ce beau Ministère de Mission
Qui depuis 40 ans fait son chemin avec raison
Au travers les difficultés et les bénédictions
Demeure en fonction grâce aux prières et aux dons

Je remercie tous ses gens engagés
Qui donne leur temps de façon inconditionnel
Afin de produire des livres, des livrets et des…

La rue Godliman

Ma femme, Carolyn, et moi marchions dans Londres quand nous sommes tombés sur une rue portant le nom de Godliman (Homme pieux). On nous a dit qu’un homme y avait vécu une vie d’une telle sainteté que l’on avait fini par la connaître comme « la rue de l’homme pieux ». Or, cela m’a rappelé une histoire de l’Ancien Testament.

Des coeurs transformés

En 1738, le Britannique John Wesley a assisté à un culte lors duquel on prêchait sur l’épître aux Romains. Wesley a écrit que ce soir-là, alors qu’il écoutait le message de l’Évangile, son coeur s’est réchauffé d’une façon étrange et il savait au fond de lui-même que Jésus était mort pour le sauver de ses péchés. John Wesley a éventuellement fondé le méthodisme, une approche de la mise en pratique de la foi chrétienne encore en vigueur aujourd’hui.

Qu’est‑ce qui dure toujours ?

Un ami ayant traversé de nombreuses difficultés dernièrement a écrit : « En me remémorant les quatre derniers trimestres en tant qu’étudiant, force m’est de constater que beaucoup de choses se sont produites. […] C’est affolant, vraiment affolant. Rien ne dure toujours. »